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Avec pudeur, élégance et poésie, la violoniste et romancière Léonor de Recondo aborde à nouveau l’histoire de sa famille paternelle prise dans la guerre civile espagnole. En 1936, sa grand-mère Enriqueta, menacée par les franquistes, doit fuir la demeure familiale d’Irun en quelques minutes. Ce jour-là, elle perd tout, notamment sa nationalité – en traversant la frontière, elle devient apatride. Quand une loi espagnole permet aux descendant-es d’exilé-es politiques d’obtenir la nationalité perdue, Léonor de Recondo suit ce chemin de fantômes et de souvenirs, contre l’oubli, la guerre, le fascisme. Nous parlerons d’art, de littérature, de musique bien sûr, de quête d’identité, de transmission familiale et d’humanité naturellement. Pour vous inscrire, merci d’appeler ou de passer à la librairie. |
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